J'aurais tendance à choisir la deuxième option…
Je vous réponds d'une manière générale, car je n'ai pas d'exemple spécifique à l'Azerbaïdjan. Je le fais au titre de Suez et de sa division internationale.
Parfois, nous perdons des marchés sans en connaître clairement la raison. C'est une préoccupation partagée par de nombreux pays, qui s'efforcent d'être extrêmement vigilants en la matière. C'est pourquoi nous poussons, nous aussi, à ce que toutes les institutions, françaises ou internationales, comme la Banque mondiale, soient extrêmement vigilantes sur les cahiers des charges, sur les normes en matière de santé, de sécurité, de développement durable et de gestion des personnels. Il s'agit de faire en sorte, au-delà même des problèmes éventuels de corruption, que les entreprises soient placées dans des conditions de concurrence saine et que les cahiers des charges – lorsqu'il y en a, ce qui n'est pas toujours le cas – répondent à des règles précises dans ces domaines.