Je pense que, dans un certain nombre de domaines, les autorités azerbaïdjanaises font preuve d'une vigilance que l'on ne retrouve pas dans tous les pays émergents. Par exemple, elles se préoccupent d'éducation et de formation. Et lorsqu'une entreprise française ou européenne remporte des marchés, elles y voient le moyen de faire progresser les compétences au sein des entreprises, des services administratifs ou des collectivités. Elles se préoccupent aussi, dans le cadre des réformes économiques, de la corruption – je crois que le président Aliev l'a évoquée dans ses discours.
Ce sont les seuls points dont je puisse parler. Suez a très peu d'activité en Azerbaïdjan. Quant aux entreprises, je n'entre pas dans le détail des activités économiques qu'elles y développent. C'est avec celles qui sont le plus présentes en Azerbaïdjan qu'il faudrait en discuter.