Nous aurons à réfléchir à la couverture probablement partielle – de même que dans l'exemple que vous venez de citer – des coûts que nous supportons, certains étant liés à l'augmentation de l'effort de sécurisation nécessaire du fait de l'ouverture accrue du système. Cette ouverture accrue implique aussi un effort d'accompagnement des futurs utilisateurs de la part de la CNAMTS, car les données du SNIIRAM, dont la base est le remboursement des soins, ne se lisent pas au premier coup d'oeil : chaque fois qu'un nouvel accès au SNIIRAM, permanent ou provisoire, est autorisé, la CNAMTS forme l'acteur concerné à son utilisation. Cet accompagnement va d'ailleurs parfois au-delà de la simple formation. La question d'un investissement de notre part dans les ressources et les compétences humaines pour accompagner les futurs utilisateurs va se poser. Cet investissement aura un coût. La question de savoir comment nous le finançons pourra être intégrée à la réflexion sur le modèle économique.