… alors qu’en réalité c’est la liberté d’expression qui est en jeu. Vous ne pouvez pas dire à la fois que ces femmes prennent la décision d’avorter en toute connaissance de cause lorsqu’elles consultent exclusivement le site du Gouvernement et qu’elles ont été trompées si elles consultent une autre source d’information. Ce n’est pas forcément le cas.