Je ne saurais vous le dire précisément, ni répondre à votre question relative à la part respective du public et du privé dans ce marché. Peut-être l'Institut des données de santé, qui a sans doute gardé trace des demandes d'accès qui lui ont été faites, le peut-il.
Je tiens à préciser que, contrairement à ce qui a été avancé, Quintiles IMS n'a jusqu'à présent pas eu d'accès direct aux données du SNDS, en particulier au SNIIRAM, ni même à l'échantillon généraliste des bénéficiaires – non plus, à ma connaissance, qu'aucun autre bureau d'études privé. Quand accès il y a eu, ce fut toujours par le biais d'accord avec des organismes de recherche publics.