Edouard Geffray, secrétaire général de la Commission nationale de l'informatique et des libertés :
À l'avenir, la CNIL n'exercera plus de contrôles a priori ; elle devra donc développer les contrôles a posteriori alors que, jusqu'à présent, son effort portait, pour des raisons de moyens, sur l'amont plutôt que sur l'aval.