Nous savons d’expérience que la loi peut permettre de solides avancées pour les droits des femmes. Le moment est donc venu de contraindre les entreprises qui recourent abusivement au temps partiel imposé et de faire respecter la durée minimale de vingt-quatre heures.
Telles sont les mesures figurant dans notre proposition de loi pour l’égalité professionnelle réelle entre les femmes et les hommes qui sera examinée demain dans l’hémicycle. Madame la ministre, soutiendrez-vous ce texte qui sera défendu par notre collègue Marie-George Buffet ?