Monsieur le député, permettez-moi tout d’abord de réagir à certaines choses que vous trouvez totalement accessoires concernant le pouvoir d’achat des jeunes. La question de la précarité des jeunes se pose. Nous avons ciblé nos dispositifs en direction des jeunes les plus précaires : non seulement nous en sommes fiers, mais nous l’assumons !
La prime d’activité n’est absolument pas accessoire et 500 000 jeunes ont pu en bénéficier ! Les jeunes apprentis peuvent aujourd’hui intégrer ces périodes d’apprentissage dans le calcul de leurs droits à la retraite. Nous avons aussi augmenté les bourses, et cela aussi permet de lutter contre la précarité des jeunes. Voilà ce que nous avons fait !
Puis, monsieur le député, vous n’avez pas cité la garantie jeunes, mais permettez-moi de vous dire qu’elle bénéficie concrètement à près de 1 700 jeunes dans votre département. Ce dispositif d’accompagnement intensif a des résultats ! Première, erreur, premier mensonge !