L’amendement no 8 , monsieur le ministre, était rédactionnel : nous ne sollicitions pas, à travers lui, votre avis sur la création d’une nouvelle taxe sur les transactions financières ; il s’agissait seulement du bon usage de la langue française. La taxe est prévue par l’article 2, mais l’amendement no 8 , lui, était seulement rédactionnel : il traduisait le respect dû à notre langue et à sa beauté, et visait à l’équilibre de la rédaction.