J'aimerais revenir sur l'utilisation des données du SNIIRAM par l'agence. Nous nous fondons sur les demandes ministérielles, bien évidemment, mais aussi sur des choix internes à l'agence, qui font l'objet d'une concertation. De manière générale, nous formulons des hypothèses directives quand nous soupçonnons une toxicité à la suite de remontées du réseau de pharmaco-vigilance, d'informations issues du dispositif de veille ou fournies par des lanceurs d'alerte.
Le système de détection automatisée en est au stade de la recherche.