En effet, la Cour a pris acte de la robustesse du dispositif de sécurité informatique, tout en s'interrogeant sur l'obsolescence d'un algorithme de pseudonymisation, dont le directeur général de la CNAMTS nous a précisé qu'il serait amélioré dans le cadre de la prochaine convention d'objectifs et de gestion (COG).
Quant à la sécurité juridique et à l'utilisation ou à la réutilisation des données, des questions se posent. Pourriez-vous vous attarder sur ce point ?