Monsieur Philippe Martin, vous allez devenir le président du conseil d'administration de l'Agence française pour la biodiversité. Cependant, dès votre arrivée, vous allez devoir régler certains problèmes et remédier à certaines lacunes. Je pense notamment à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, qui n'a pas souhaité intégrer l'AFB. Il a ses raisons, que je peux comprendre.
Comment envisagez-vous aujourd'hui vos relations avec les représentants de la chasse française, sachant que vous avez des problématiques communes ? Je rappelle que ceux-ci participent au quotidien à la gestion et à la maîtrise des espèces.