Je regrette de n'avoir pu défendre les amendements CF 50 et CF 36, qui reposaient sur la conviction que la filialisation n'est qu'une marginalisation du risque inhérent aux activités de trading en fonds propre, dites non utiles – c'est le coeur de la spéculation.
Or, puisque le risque subsiste sur l'ensemble des activités de marché, fussent-elles qualifiées d'utiles, pourquoi toutes les activités de marché, utiles ou non, n'entrent-elles pas dans le périmètre de la filiale ?