Votre exposé est limpide, monsieur le président. La logique du texte repose sur la confiance que nous pouvons mettre dans l'Autorité de contrôle prudentiel. C'est pourquoi je suis certaine que M. de Courson votera l'amendement de la commission des Affaires économiques visant à augmenter les pouvoirs de contrôle de l'Autorité.
Encore une fois, l'efficacité du dispositif repose sur la capacité de l'ACPR à imposer son autorité aux dirigeants des groupes bancaires.