C'est un point capital. Je n'ai pas le sentiment qu'on ait ouvert ce débat en France ni qu'on ait interrogé M. Barnier la semaine dernière à ce sujet. D'abord, il y a une incertitude quant à la ratification par le parlement britannique et ensuite, si ce dernier s'arroge ce droit, les parlements des pays continentaux – et moi le premier, si je suis encore élu à ce moment-là – voudront regarder ce qu'il y a dans cet accord.