Arriver, en deux minutes, à évoquer autant de sujets, entremêlés les uns dans les autres, sans qu’on comprenne vraiment où vous voulez en venir, fut un exercice de très haute voltige rhétorique et parlementaire, auquel, malgré tout, je vais essayer de répondre.
Le premier point sur lequel je vous répondrai est la situation de l’économie. Je m’y suis déjà efforcé tout à l’heure, même si le temps nous est toujours compté pour aller au fond des choses, en évoquant la situation budgétaire, mais je peux aussi parler de la situation des entreprises, que vous avez évoquée.