Monsieur Vitel, nous connaissons, l’un et l’autre, très bien le sujet. Vous avez exposé les causes de la situation actuelle. La première raison est la dégradation structurelle de la disponibilité de ces machines depuis de nombreuses années. La deuxième raison est leur forte sollicitation dans des milieux extrêmement hostiles. Le taux de disponibilité n’est donc pas bon.