La victime, qui a naturellement toute notre compassion pour les souffrances qu’elle a pu endurer, défend un intérêt qui reste un intérêt privé, aussi respectable soit-il. Le ministère public, lui, défend l’intérêt général. On ne saurait introduire une confusion dans les compétences des uns et des autres.
À votre amendement d’appel, je réponds donc par une position de principe.