Comme vos prédécesseurs Michel Barnier et Bruno Le Maire, vous êtes arrivé dans un contexte agricole français et européen particulièrement tourmenté, mais je n’ai jamais douté de votre volonté de bien faire. Voilà pour le bon point.
Je vous donnerai néanmoins quelques mauvais points – comme je l’ai déjà fait en privé. Premièrement, j’ai regretté que vous ne vous concentriez pas sur les questions agricoles et agroalimentaires et que votre message soit brouillé par le fait que vous soyez également porte-parole du Gouvernement. Deuxièmement, j’ai regretté que, malgré une expérience européenne reconnue, vous agissiez tardivement à l’échelle européenne – seulement à partir de juillet 2015…