La participation de ceux qui les diffusent ou les exploitent au financement des oeuvres étant l'un des piliers de la production en France, nous considérons la « taxe YouTube », monsieur Rogemont, comme une disposition novatrice qui va dans le sens de l'Histoire telle que nous aimerions qu'elle s'écrive.
Enfin, je viens de tourner entièrement en France, avec des techniciens français, un film assez cher. Sans le crédit d'impôt, j'aurais dû me limiter à un film moins ambitieux ou décider que le tournage aurait lieu en Belgique en faisant croire que Bruxelles était Paris… Je suis donc ravi de cette mesure, madame Duby-Muller.