Je souhaite remercier chacun des orateurs des différents groupes qui ont annoncé qu’ils voteraient ce texte. Les réserves qu’ils ont formulées, et que j’ai entendues, démontrent que, si ce texte peut ne pas les satisfaire dans sa totalité, il contribuera à l’édification du socle de sécurité constitué de ce que nous avons voté durant cette législature. Je voudrais les remercier de la façon la plus sincère de leur volonté de consolider ce socle en votant ce texte.
Je ne veux pas faire comme si je n’avais pas entendu la remarque du président Chassaigne. Je souhaite donc adresser un mot particulier à celui dont vous avez dit qu’il intervenait aujourd’hui pour la dernière fois dans l’hémicycle.
En 1997, monsieur Dolez, lorsque vous êtes revenu à l’Assemblée – je venais pour ma part d’être élu –, nous siégions dans le même groupe politique.