Pardonnez-moi mais je serai assez brutal : on constate, d'après les questions qui ont été posées, que la politique du médicament souffre d'une double schizophrénie, tiraillée entre nécessités industrielles et nécessité de régulation, d'une part, et vision de long terme et vision de court terme, d'autre part. Il faudra bien en venir à bout.
Je constate qu'aucune question n'a porté sur notre capacité à attirer des investissements industriels étrangers.