La conséquence principale de ces deux tragiques erreurs est que, depuis cinq ans, votre politique au Proche-Orient est illisible, incompréhensible et, comme je le disais à l’instant, hémiplégique.
À cause de cette hémiplégie, vous ne vous êtes souciés, en décembre dernier, que du sort tragique d’Alep-Est, sans évoquer une seule fois les souffrances d’Alep-Ouest, qui se trouve sous les bombes des djihadistes depuis cinq ans.