La communauté internationale en a défini les contours dans le communiqué de Genève et la résolution 2254. Il faut désormais que les parties syriennes se mettent d’accord pour sa mise en oeuvre. C’est l’objectif des négociations intersyriennes qui reprendront le 23 février à Genève, et nous soutenons les efforts de l’envoyé spécial de l’ONU en ce sens.
Permettez-moi de dire un mot sur la prétendue absence de la France sur le dossier syrien. À Astana, ce sont exclusivement des pays engagés sur le terrain qui se sont réunis : la Turquie, l’Iran et la Russie.