Je relève par ailleurs que la réunion d’Astana n’a abouti qu’à un accord de cessez-le-feu qui est quotidiennement violé par le régime et ses alliés. À Genève où, nous l’espérons, se tiendront donc ce jeudi des discussions politiques, ce sont les Nations unies, en la personne de leur envoyé spécial, qui conduiront la médiation. Il faut soutenir les Nations unies aujourd’hui, même si nous savons qu’une autre puissance ne le fait plus et que d’autres posent systématiquement leur veto au Conseil de sécurité pour entraver l’action de l’organisation.