Vous avez le droit de ne pas être d’accord, mesdames et messieurs, mais c’est la vérité. En effet, 1,3 milliard d’euros ont été pris sur la dette pour mettre en formation des jeunes et des chômeurs et leur demander d’aider le Président de la République à atteindre ses objectifs.
Madame la ministre, ma question est donc simple – mais ne me parlez pas de 2012 : je n’étais pas là, et vous non plus – : quel bilan pouvez-vous faire de votre politique désastreuse de la formation dans ce pays ?