Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, je ne dirai que quelques mots. Tout d’abord, je m’associe à l’hommage qui a été rendu à vous-même, madame la présidente, à tous ceux qui ont travaillé sur ce texte, à Mme la whip, à tous nos collègues de l’opposition et de la majorité ici présents.
Je vous rends hommage plus particulièrement, monsieur le rapporteur. Vous avez dit que cela fait vingt-cinq ans que vous remplissez les fonctions de député ; je pense que vous avez fait beaucoup pour la moralisation de la vie publique. Votre travail est exemplaire : vous l’avez poursuivi avec un acharnement méritoire, sur des sujets parfois ingrats, exigeant d’exploiter les chiffres. Vous êtes devenu un modèle en matière de gestion de la dépense publique, en vous montrant parcimonieux avec l’argent des contribuables et en faisant en sorte que chaque euro dépensé soit utile. Nous vous en remercions chaleureusement.
Par ailleurs, comme l’a dit Jean-Frédéric Poisson, nous avons dressé ce matin le bilan du travail de la commission des lois. Je voudrais le citer pour mémoire, non que la commission des lois soit supérieure aux autres…