Je vous remercie, monsieur le ministre, d’avoir cité le nom de cet agent de l’Assemblée nationale qui s’est interposé lors d’une agression et a été violemment agressé lui-même. Il est aveyronnais, je crois : étant moi-même native de l’Aveyron, j’ai remarqué cette qualité.
Je tenais à vous dire quel honneur cela a été pour moi de présider certaines de nos séances, et le plaisir qui a été le mien de recevoir des chocolats de la part de notre collègue Jean-Frédéric Poisson, qui tient à nous préserver des crises d’hypoglycémie.