Peut-être voulait-il aussi éviter, en offrant ces chocolats, que l’un ou l’autre de nos collègues ne devînt un peu acariâtre !
Je souhaite enfin à dire à quel point les accents, les territoires, les vécus, les récits de vous tous, mes chers collègues, enrichissent notre démocratie et notre république, et en font battre le coeur.
De ce perchoir et depuis le siège qui fut celui de Lucien Bonaparte, c’est toujours un plaisir pour une femme d’avoir une pensée pour les générations de celles qui n’ont pu monter à cette tribune ni même voter pour élire leur député.
Je dédie la fin de cette XIVe législature à toutes celles et ceux qui, à travers le monde, recherchent désespérément la lumière de la démocratie, souhaitant que leur coeur batte aussi fort que le nôtre. C’est précieux.