Nous sommes tous impressionnés par votre parcours, monsieur Vigouroux. Permettez-moi deux questions : tout d'abord, je vous ai beaucoup entendu parler d'histoire et de géographie, l'une et l'autre nourrissant des valeurs fortes, en particulier dans les territoires ruraux et de montagne. Or, un kilomètre en montagne ne vaut pas un kilomètre en plaine : en cette période de perte des repères et de désengagement des services publics, comment aborderez-vous la question de ces territoires de montagne dans le cadre d'un redécoupage ?
D'autre part, vous avez enseigné à l'université de Paris-I : cette expérience vous a-t-elle enrichi et comment avez-vous appréhendé le contact avec les étudiants ?