Je comprends que vous insistiez sur ces questions. Mais vous admettrez que lorsque l'on a la responsabilité de fixer des règles sur des sujets aussi importants, on ne peut pas laisser planer une équivoque. L'appréciation est largement liée aux circonstances. Je vais prendre un exemple. En médecine, dans un contexte d'urgence classique, on cherche à sauver celui qui est le plus mal en point ; dans une situation de guerre, on cherche à sauver celui qui a le plus de chance de s'en sortir. Dans quel manuel de déontologie médicale est-ce écrit ?