Non, je n'ai que des bribes d'information ou des hypothèses. Nous avons échangé sur le sujet avec la DGAC avec laquelle nous coopérons étroitement. Or en son sein la DGAC comprend une cellule d'analyse du risque qui étudie les catastrophes ou les accidents aériens.
Les seuls éléments d'information dont je dispose concernent la nature de l'explosif – on évoque l'emploi de TATP, d'une bonbonne, ce qui pose le problème du contrôle des bagages de soute. Nous avons eu l'occasion d'échanger sur ce thème avec la DGAC lors d'une mission en Tunisie. Reste que je ne dispose pas d'informations très précises ni très claires, certifiées, qui me permettent de vous affirmer quoi que ce soit dans le cadre de la présente commission.