À ce moment-là, je n'ai pas prévu d'intervenir, mais de gagner au plus tôt mon service. C'est parce que j'ai entendu des coups de feu que je me suis approché du Bataclan. Mais, dans ce genre de situation, si l'on est seul est sans arme, on fait demi-tour. Je ne vois donc personne. Je sais en revanche que les messages d'alerte sont passés sur les ondes et que des équipages de la DSPAP ont été dépêchés sur les lieux.