Nous n'avons aucune certitude que l'homme aperçu au premier étage est bien un hostile.
Au moment où nous sommes en contact avec les autorités de la Force d'intervention de la police nationale (FIPN) – puisqu'étaient également présentes les autorités du RAID –, nous leur donnons les informations dont nous disposons. Nous sommes formés pour cela et savons gérer ce type de situation sans difficulté.