Avant son arrivée, la BRI ne nous communique aucune consigne. Il faut du temps pour que nous puissions nous retrouver et communiquer les uns avec les autres. Chacun gère donc la situation à l'instinct. Les tirs ayant cessé, nous n'avions pas intérêt à investir les lieux avec le risque de les relancer. Avec le renfort des collègues territoriaux qui nous ont rejoints, nous avons donc procédé à l'évacuation des blessés, tandis que la BRI, arrivée entre-temps, entreprenait d'isoler l'accès aux endroits où se trouvaient les terroristes.