Je précise qu'à partir du moment où la BRI nous informe par radio que le commando terroriste a été neutralisé – je me trouve alors à côté du préfet –, il ne s'écoule que quelques secondes avant que les pompiers interviennent au secours des blessés, avec l'autorisation de leur hiérarchie, et prennent alors le relais des policiers. Tout s'enchaîne avec fluidité.