Il n'y a pas de « problème » ou de « choc » démocratique grec, car les choix du peuple ne doivent jamais être remis en cause. La difficulté, ce n'est pas que les partis contestataires, parfaitement légitimes car élus légitimement, prospèrent. La difficulté réside dans ce qui conduit les citoyens à se détourner des partis traditionnels et à aller vers les solutions que l'on réprouve. Notre rapporteure nous a parfaitement décrit ce qui nous a mené là, et je pense que l'on peut et l'on doit, collectivement, trouver des réponses qui nous gardent de reproduire ailleurs ces erreurs.