J'imagine que vous avez lu le dossier du Parisien daté du 13 mai, selon lequel, si nous avons commencé à bombarder la Syrie, c'est parce que nous savions qu'Abaaoud et consorts préparaient des attentats sur notre territoire. Cela tend à contredire votre propos : nous aurions alors précisément ciblé des individus.