On a l'impression qu'aujourd'hui, une multiplicité de fichiers coexistent. La DGSI estime que le FSPRT ne lui sert à rien, alors que la gendarmerie et le SCRT le trouvent utile. Les cellules Allat et Hermès ont une liste de noms gérée en temps réel, chacun avec son fichier puisque l'interconnexion n'est pas possible : les représentants de chaque service se réunissent dans une même salle, chacun avec son ordinateur, et font état de leurs informations.
Le haut du spectre est traité par le fichier DGSI. Or celui-ci est la chasse gardée de la DGSI.