En effet, on ne peut pas soupçonner les services de faire de la rétention d'information : l'enjeu est trop important. Mais il est tout de même extraordinaire qu'il faille réunir les représentants des six services dans une salle pour récupérer des informations, au lieu de créer un fichier commun ! Cela vaut du haut du spectre, au sein d'Allat, comme du FSPRT, que la DGSI qualifie de « fichier des préfets » et dont certains services du premier cercle ne connaissaient même pas l'existence quand nous les avons interrogés.
La question des fichiers est donc un enjeu essentiel, qui concerne la mise en commun des bases de données, donc la coordination.