Le rapporteur et moi-même avons rencontré hier M. Calvar, que nous devons auditionner la semaine prochaine. Il estime que l'on ferait un progrès considérable en trouvant une formule juridique permettant de partager l'information judiciarisée, comme le font les Américains. En France, lorsqu'un renseignement est judiciarisé, la DGSI, cosaisie, peut l'utiliser, mais non le communiquer à la DGSE, ce qui pourrait pourtant se révéler précieux, à cause du secret de l'instruction. Cela fait-il l'objet d'une réflexion ?