Francis Delon, président de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement, CNCTR :
Dans ce cas, il n'y a pas de difficulté, mais, s'il s'agit de la même finalité, nous le signalons au Premier ministre, qui choisira le service qui sera autorisé à surveiller. Nous jouons donc ici, de façon certes marginale, un rôle de coordination.