Nous nous situons dans la chaîne opérationnelle parce que nous sommes l'organisme de contrôle qui intervient avant que la décision ne soit prise par le Premier ministre. Et c'est notre avis qui va avoir une grande influence sur cette décision. Jusqu'à présent, le Premier ministre a toujours suivi nos avis défavorables, ce qui n'était pas le cas avec la CNCIS. J'ajoute que, s'il ne suivait pas notre avis défavorable, nous pourrions saisir le Conseil d'État pour contester la décision – ce que ne pouvait faire la CNCIS.