Il faut poser la question aux services. Je rappelle que l'article 851-2 du code de la sécurité intérieure s'applique à des personnes qui représentent une menace en matière de terrorisme. On est donc au-delà d'une simple suspicion. Il faut un minimum d'éléments tangibles pour la mise en oeuvre de cette technique – c'est ce qu'a prévu le législateur.