L'Azerbaïdjan est probablement, des trois, le pays le plus difficile. Celui où nous nous implantons le plus naturellement et le plus facilement est l'Arménie, où nous menons déjà deux projets d'envergure. Nous espérons concrétiser cette année un premier projet important en Géorgie. Jusqu'à présent, nos opérations dans ces trois pays étaient suivies depuis Paris, avec l'aide d'un volontaire international en administration installé à Istanbul. Nous avons renforcé notre dispositif en décembre 2016 en ouvrant un bureau régional à Tbilissi.