Je suppose – mais cette question s'adresse peut-être davantage à M. Errera, qui pourra y répondre ultérieurement – que la fermeture de l'ambassade a posé un certain nombre de difficultés en matière de recueil du renseignement, dans la mesure où elle a sans doute entraîné la rupture de nos relations avec les services syriens. Est-ce exact ou est-ce plus compliqué que cela ?