Sur les trois dernières années, la Grèce, l'Irlande et le Portugal ont connu une migration cumulée de 200 000 personnes par pays. Nous constatons que la langue est parfois un facteur plus important que la proximité de l'emploi, ce qui est préoccupant pour l'Europe. Ces personnes décident de s'expatrier de leur propre chef. Nous devons les aider à trouver des emplois en Europe sinon les Portugais partiront en Angola ou au Mozambique et les Grecs en Australie.