Marie-Béatrice Levaux, présidente de la Fédération des particuliers employeurs de France, FEPEM :
Non. Pour les assistantes maternelles, le problème serait plutôt dû à la rupture répétée de la relation affective à l'enfant. Des études sont en cours sur ce que nous appelons « les maladies redoutées ». Il faut donc encore rester prudent.