Il ne s'agit que des cancers du sein.
Nos accords de prévoyance intègrent aussi les troubles musculo-squelettiques (TMS) auxquels nous consacrons des campagnes de prévention et de sensibilisation.
Les caisses de prévoyance tiennent mieux compte, dans leurs statistiques, des spécificités de notre secteur que les caisses primaires de l'assurance maladie.
J'insiste sur ce point : si 30 % de la population salariée n'accède pas aux indemnités journalières, ce n'est pas faute de dispositif, celui-ci existant chez nous depuis 1999, mais par manque d'information des intéressés et de simplification des procédures de déclaration. Nos campagnes de sensibilisation l'ont démontré.