Les problèmes relevés par ce rapport étaient liés au dépassement des délais d'envoi des arrêts, qui s'opposait à l'instruction des dossiers, et à l'insuffisance de certaines informations administratives, comme les adresses ou les données d'état civil. On est en droit de s'étonner que les administrations centrales ne maîtrisent pas de telles questions. Qu'en est-il donc la fonction publique hospitalière ?